Le sexplorateur

La rédaction 22 avril 2019

Myriam, 25 ans, Créteil.

J’adore lire les courriers de lecteurs. Cette fois-ci, c’est moi qui veux leur faire plaisir en leur racontant l’un de mes plus beaux souvenirs.

Pendant l’été 2012, j’ai travaillé à Nice dans un hôtel de luxe. Le job : faire le ménage dans les chambres de gros richards qui oubliaient souvent des tas de trucs chers sous leur lit et qui laissaient des pourliches énormes. Plutôt cool. Ce qui l’était moins, c’étaient les types qui me reluquaient dès que leur bourgeoise avait le dos tourné. Parmi les mateurs, il y en avait un qui me plaisait bien quand même. La quarantaine, les cheveux gris et les yeux clairs, il était toujours bien sapé et me faisait des sourires en me croisant le matin. Comme je n’avais pas très envie d’un plan entre deux portes, j’essayais de ne pas trop répondre. Sauf qu’il a dû sentir que je le trouvais pas mal, et un matin, il s’est pointé alors que je faisais son lit.

J’ai entendu la porte claquer et je me suis retrouvée face à lui. « Bonjour, ça ne vous dérange pas que je reste là ? ». J’ai rigolé : « Le client est roi ». Il s’est assis sur une chaise et a souri: « En effet. Du coup, j’ai bien envie de vous demander quelques petits services… ». II était vraiment beau gosse, avec ses fossettes et sa montre de frimeur. Je l’ai regardé longuement et j’ai répondu : « Tout ce que vous voulez, Monsieur ». Ce n’était ni le lieu, ni le moment, mais ce type commençait à me chauffer pas mal, avec son arrogance. Il a continué son baratin : « Le client est roi, et il veut vous voir nue ». Il voulait tester mes limites ? C’était parti…

Sans broncher, je me suis déshabillée lentement. Sous mon uniforme, je portais un ensemble noir bien sexy, avec un string qui me faisait un cul d’enfer. « Tournez un peu, pour voir… » J’ai obéi et lui ai présenté ma croupe, sans oublier de tirer un peu sur la ficelle du string. « Vous aimez qu’on vous stimule, à cet endroit-là ? » En guise de réponse, je me suis cambrée davantage.

Mon quadra avait maintenant baissé son fute et s’astiquait doucement. Sa verge était épaisse et déjà, je pensais à ce que ça ferait de la prendre dans ma chatte. Il a continué son cirque : « À poil, s’il vous plaît. Et sur le ventre. Laissez-moi vous explorer ». J’avais l’impression d’être dans Fifty Shades of Grey, avec ce baiseur blindé qui voulait me soumettre. Résultat : je mouillais de plus en plus… Le type s’est lui aussi mis à poil. On voyait qu’il prenait soin de lui : de beaux pectoraux, un cul ferme, et toujours sa bite tendue vers moi fièrement. C’est par ma bouche qu’il a commencé. Je n’ai eu qu’à l’entrouvrir qu’il y fourrait déjà sa queue et me faisait pomper. J’ai senti que ce n’était qu’une façon de se mettre en jambes. Sa main est en effet rapidement venue titiller ma chatte : l’étape suivante de son « exploration ».

Il s’est retiré de ma bouche et s’est mis derrière moi. C’est là que j’ai entendu le déclic de son portable. J’ai cambré les reins pour une meilleure prise de vue. Ma manoeuvre a fait son petit effet : le cochon s’est mis à se branler sur ma minette, se rapprochant de plus en plus de mon antre. C’est avec délice que je l’ai senti plonger en moi, tout en caressant amoureusement mes fesses. J’aurais voulu qu’il y aille carrément, mais son objectif n’était toujours pas là. Je l’ai compris quand ses doigts sont venus s’attarder sur ma rondelle, son index forçant peu à peu le passage. J’ai ondulé pour l’inciter à me prendre plus fort. Ses coups de reins se sont faits plus intenses et surtout, son doigt tout entier a plongé dans l’étroit orifice.

J’ai gémi de plaisir. Après quelques minutes, le libertin s’est retiré et, de sa langue très douce, il s’est mis à lécher mes fesses, tournant autour de mon anus puis plongeant dedans avec délice. J’ai alors eu droit à un bouffage de cul en règle, si bien qu’au bout de 5 minutes, j’étais ouverte comme jamais. « Maintenant, je veux explorer le dernier trou », a murmuré mon pervers. J’ai enfoui la tête dans l’oreiller en sentant son gourdin me pénétrer le cul. Sa bite bien large est entrée sans effort. Encouragé par mon excitation, il s’est mis à me ramoner sans ménagement. Perforée, défoncée, j’ai mordu le coussin pour ne pas crier. Mon corps entier brûlait et j’étais tellement à fond que je me suis mise à me branler le clito comme une folle. La jouissance montait, montait… J’ai éclaté d’un coup, par devant et par derrière, en hurlant à la mort.

Je pensais que l’étalon allait vouloir se finir, mais pas du tout. Il s’est retiré avec précaution et a essuyé ma mouille avec ses draps. Avant de partir, il m’a demandé un autre service : j’ai tout bien écarté pour une dernière photo qu’il garderait précieusement en souvenir de la plus obéissante des femmes de chambre.

(Photo à la une : Getty Images)

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Sublime bonniche !
« Un jour, j’étais en train de repasser du linge dans la cave d’un client. […] Soudain, j’ai senti deux mains qui se posaient sur mes épaules et un souffle sur mon cou. J’ai été surprise ! […] J’ai instantanément aimé cette situation étrange. Je me figurais que c’était une sorte de fantôme polisson… Mais le gros sexe qui se lovait contre la raie de mes fesses n’avait quant à lui rien de spectral. » Mélissa.

Surprenante femme de ménage
« Il y a quelques jours, je l’ai trouvée en train de balayer devant ma porte. Je l’ai saluée avec mon plus beau sourire et lui ai dit sur le ton de la plaisanterie que j’aurais bien besoin de ses services pour s’occuper de mon studio. À ma grande surprise et contre toute attente, elle m’a rétorqué : « Je n’ai pas le droit de faire le ménage chez les résidents, mais rien ne m’interdit de m’occuper d’eux ! ». » Éric.

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