Plus belle la vulve

La rédaction 10 juillet 2016

Iris, une belle Toulousaine à la peau hâlée, se rend à Marseille pour une visite improvisée. Sur place, elle déniche un guide touristique pas comme les autres et s’offre un tour de la ville très plaisant.

Je suis sortie du bateau un peu perdue. On m’avait vanté la beauté de la cité phocéenne, mais je ne m’attendais pas à ce que ce soit si grand. J’ai regardé ma carte, et j’étais déjà découragée par l’immensité du terrain à explorer. Et si je demandais à un local ? Un beau mec un peu perdu sur le port semblait désœuvré, je lui ai demandé s’il connaissait un peu Marseille… Et, bingo !

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Il m’a annoncé être un moniteur de plongée saisonnier en congé pour deux jours. S’il connaissait bien les mers, il m’a assuré connaître parfaitement la ville aussi. Nous avons commencé notre visite par le marché à l’ancienne, j’ai adoré l’odeur si particulière des savons marseillais présentés sur les étalages.

Nous avons poursuivi notre visite par l’incontournable stade du Vélodrome. Toulousaine pure souche, je ne me suis jamais vraiment intéressée au football (alors que je suis une grande adepte de rugby !), cependant, j’étais quand même très impressionnée par l’architecture très imposante du stade !

« Ça te dirait de voir le Marseille plus underground ? Je connais un squat d’artistes à deux pas d’ici, tu vas adorer… » J’avais décidément déniché la perle rare en matière de guide touristique ! En dix minutes à peine, nous étions dans un immense atelier, et un de ses potes, Laurent, était en train de graffer.

Nous avons rapidement fait connaissance puis il s’est éclipsé tout de suite après, il avait autre chose à faire, nous laissant seuls tous les deux au milieu de cette superbe pièce. Je ne sais pas si c’était la chaleur ambiante ou les effluves de peinture qui me montaient à la tête, mais j’ai eu tout d’un coup très envie de sexe.

Mon guide improvisé était plutôt craquant, et j’ai tenté une approche en lui saisissant la main. « Merci pour m’avoir accompagnée aujourd’hui. J’aimerais te remercier à ma façon, si tu le veux bien… » Mon plongeur a rougi d’un coup et a commencé à balbutier, je sentais bien que lui aussi avait très envie de moi mais n’osait pas faire le premier pas. OK, c’est moi qui ai pris les devants, j’avais l’habitude avec ce genre de garçon trop sage. J’ai commencé à masser doucement son entrejambe pour bien faire grossir son machin.

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Je devinais à travers la toile de son short que mon héros du jour en avait une bien longue, ce qui m’a excitée encore plus ! Je me suis empressée de le déshabiller comme un cadeau trop longtemps attendu, et là, sa bite m’a sauté aux yeux comme un clown sort de sa boîte. Doinnnnng. Épaisse et bien épilée, c’était un vrai appel à la fellation.

J’ai approché délicatement ma tête de son gland et ai englouti d’une traite sa bite bien raide. Comme elle était vraiment énorme, j’avais beaucoup de mal à aller jusqu’au bout ! Décidément, les Marseillais ne sont pas tous des menteurs quand ils disent qu’ils ont un gros membre.

Bon, je me suis rapidement arrêtée avant de me faire mal à la mâchoire. Lascivement, j’ai retiré mes sous-vêtements pour lui dévoiler mon corps. J’allais à la salle de sport quatre fois par semaine et je savais que ma taille fine et musclée était irrésistible pour la plupart des mecs. Ça n’a pas raté ! Mon incollable Marseillais s’est empressé de me lécher la fente avec une maîtrise que je n’aurais pu lui soupçonner.

Il appuyait bien fort avec sa langue le long de mon clitoris et la faisait parfois glisser sur les côtés, de façon à ce que toute ma vulve soit en contact avec sa bave. Il me faisait vraiment mouiller le salaud, je n’avais plus qu’une envie : que sa bite bien grosse me pénètre. Je l’ai laissé terminer son massage sexuel, c’était tellement bon, et je me suis allongée sur le canapé. Lui s’est mis délicatement derrière moi pour me pénétrer.

Il a d’abord joué doucement avec son petit gland sur le bord de mon gouffre, afin de s’assurer qu’il allait passer. « Tu es prête ? » m’a-t-il demandé avec gentillesse. Oui, bien sûr que j’étais prête ! J’aurais même eu envie qu’il me prenne bien plus sauvagement que ça, mais non, mon coup du jour avait décidé de me rentrer dedans bien délicatement, comme si j’étais une petite fleur fragile et délicate. Pff, pas facile de faire comprendre aux mecs que l’on veut parfois une bonne baise bien dure !

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Tel un prince charmant, il m’a lovée dans ses bras musclés et a approché sa tête de la mienne pour m’embrasser romantiquement. Il essayait de frôler mes lèvres avec les siennes en me donnant quelques coups de langue par intermittence. Trop mignon…

Mais pas assez sauvage pour une fille comme moi ! J’ai essayé de lui donner quelques coups de reins avec mon bassin pour que la pénétration soit un peu plus coriace mais il a simplement reculé ses hanches pour me rendre la tâche plus difficile. OK, compris, c’était rythme de croisière pour monsieur, et encore, même le gros paquebot qui m’avait ammené jusqu’ici devait tanguer plus que lui.

Il a commencé à me caresser le dos et le ventre avec tendresse, il évitait même mes seins… Je lui ai attrapé les mains et les ai collées sur mes deux petits nibards bien ronds ! Non mais oh, on ne passe jamais par là sans flatter mes petits melons ! Ça l’a réveillé d’un coup, il s’est mis à pincer mes deux petits tétons en m’enfilant un peu plus fort.

Ça y était, la partie de jambes en l’air commençait à gagner en épices. Je sentais ses deux lourdes couilles bien juteuses cogner contre le haut de mes cuisses. J’ai écarté mes jambes encore un peu plus pour les sentir au mieux. « Tu aimes me baiser ? » lui ai-je demandé d’une voix suave. « Plus encore que de te faire visiter Marseille ! » m’a-t-il répondu en reprenant son rythme effréné. Maintenant il était lancé comme un marteau-piqueur, tout le canapé tremblait comme une machine à laver au rythme de ses à-coups.

Il fallait que je m’agrippe bien sur la toile en plastique pour éviter de glisser. Comme j’ai eu peur qu’il ne finisse sérieusement par me perforer, j’ai décidé de lui grimper dessus. Hop, à cheval sur mon étalon, j’étais maintenant la reine de mon plaisir.

Son énorme queue rentrait d’ailleurs bien plus profondément, c’était terrible ! Heureusement que j’étais bien lubrifiée, sinon je ne suis pas sûre que j’aurais pu autant encaisser. Continuant sur son rythme incessant, il s’est ensuite attaché à mon cul pour bien écarter ma rosette. Ça, ça sentait le mec qui voulait passer par l’entrée des artistes…

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Je n’avais jamais pratiqué la sodomie auparavant et je n’étais pas sûre d’y arriver. Il a sucé son doigt et est venu masser l’entrée tout doucement. C’est vrai que pour une première fois, il fallait peut-être que je le fasse avec un mec aussi doux que lui ? Il avait l’air de savoir s’y prendre…

Il m’a alors retirée de son énorme tige pour venir lécher mon petit trou. La sensation était, je l’avoue, très agréable ! J’ai senti mon anus se décontracter naturellement et s’ouvrir à n’importe quelle bite qui voudrait bien lui rentrer dedans ! Lui aussi a senti que c’était le bon timing et il m’a embrochée – avec une douceur infinie – sur son pic.

C’était complètement différent que le plaisir que je pouvais ressentir de façon vaginale. Là, j’avais l’impression que je pouvais sentir la moindre pulsation de sa bite, alors que par-devant, c’est souvent un plaisir plus diffus, très difficile à analyser.

Comme dans ma minette, sentant que mon trou était aussi souple qu’un élastique, il s’est agité un peu plus, prouvant à nouveau sa vigueur.C’était vraiment trop bon ! J’aurais presque joui du cul s’il ne s’était pas retiré avant.

« C’est dans ta bouche que je veux venir Iris, c’est sur tes lèvres que je vais déposer tout mon sperme et tu vas l’avaler en une lapée… »

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Il ne fallait pas me le dire deux fois, j’ai repris en bouche sa lance, maintenant toute dégoulinante de mouille, de jus et de bave. Ça avait un goût un peu particulier d’ailleurs, j’ai d’abord bien léché partout pour la rendre propre avant de me la foutre au fond de la gorge. Pas question d’attraper des maladies bizarres…

Je le regardais droit dans les yeux avec mon regard de chaudasse, je savais que ça pourrait le faire venir plus vite et ainsi, abréger le travail un peu pénible de ma mâchoire… C’est qu’il en avait une bien grosse quand même ! Au prix d’efforts considérables, il a lâché tout son foutre sur mon visage. Il avait un goût assez original, très léger et fruité. C’était peut-être l’air de Marseille qui lui donnait cette saveur si particulière… J’ai recraché la pâte blanche sur mes lèvres et l’ai laissé couler sur mon menton et sur mes seins. Ça lui a bien plu, et il m’a félicitée pour mon show superhot.

Bon, maintenant que c’était fini, il était temps de réfléchir à ma prochaine destination… Et si j’allais me trouver un beau guide touristique à Paris ? Je suis sûre que nous trouverons un endroit propice aux coquineries place Pigalle.

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