Par amour pour ma fille

La rédaction 24 avril 2019

Guillemette, 49 ans, Dordogne.

Je vais vous raconter jusqu’où une femme est prête à aller pour sauvegarder l’honneur de sa fille. À l’époque, quand ma fille est tombée malade, j’avais 46 ans. Je suis allée vivre chez elle, avec ses enfants et son mari pour les aider. J’ai vu la déprime de Jo, son mari, qui augmentait de jour en jour au fil des longues absences de ma fille qui devait aller se faire soigner. Il s’est mis à boire plus que de raison et à rentrer de plus en plus tard le soir. Devant son état, j’étais obligée de faire quelque chose… Il n’a pas très bien pris mes reproches et il a même dit que si ça continuait ainsi, il allait prendre une maîtresse. À cette évocation, j’ai cru me trouver mal. D’une voix sèche de colère et autoritaire, je lui ai recommandé de ne pas plaisanter avec ce genre de choses et lui ai rappelé que ma fille n’y était pour rien si elle était malade. Mais c’était comme de parler à un sourd, et au bout de quelque temps je l’ai même vu parader au bras de la meilleure amie de ma fille. Ce qui n’a pas manqué de provoquer des commentaires de la part du voisinage, du genre : « Tiens, elle est malade, mais lui, il est en pleine forme… »

Je ne voulais pas que cette femme occupe la place de ma fille. J’ai agi. Un soir, j’ai préparé un bon repas, nous avons ouvert de bons vins. C’était un dîner à la maison entre mon gendre et moi, ma fille était en soins. L’alcool avait bien détendu l’atmosphère, je m’étais mise sur mon trente-et-un. J’ai décidé de donner un petit coup de pouce au destin. Nous étions assis tous les deux sur le canapé. En soupirant, j’ai glissé au gendre : « C’est vrai que c’est une bien triste vie que tu as en ce moment… » Tout en lâchant cette concession, j’ai posé ma main chaude sur son sexe.

Il a été interloqué : « Tu veux… » J’ai simplement répondu « oui » et je me suis baissée pour m’occuper de sa braguette. Il m’a empoignée par les cheveux et il a maintenu ma tête au niveau de sa queue. Cet homme était affamé de sexe. « Suce-moi et suce-moi bien à fond. » J’ai toujours mené une sexualité sans tabou. Je considérais cet acte comme une roue de secours pour lui et ma fille. Je me suis exécutée en espérant que cela le contenterait. Il a joui assez rapidement dans ma bouche. Je l’ai pompé à fond comme il me l’avait demandé.

Mais il était encore dur et il avait encore envie. Mes cinq doigts enroulés autour de sa belle verge continuaient de le masturber. D’une petite voix timide, je lui ai demandé s’il avait envie de quelque chose d’autre… Il a passé une main sous ma jupe et a tâté ma culotte. « Oui, je veux tout : ta bouche, ta chatte et ton cul. » Il était si sûr de lui. Du reste, je m’attendais un peu à ce qu’il en veuille plus…

J’ai ouvert mes cuisses pour y laisser fleurir sa caresse et j’ai souri, compatissante. Cet abandon a augmenté son ardeur à lui, son désir s’embrasait. Il m’a furieusement embrassée, et son autre main est montée sous mon pull pour saisir mes deux seins à travers le soutien-gorge. Il n’a pas tardé à me l’arracher. Il est venu prendre sa tétée. Il a gobé mes seins entre ses lèvres.

Nous nous sommes levés en titubant et nous nous sommes déshabillés. J’ai fait tomber ma culotte sans rechigner. Il m’a attrapée et jetée sur le canapé en annonçant : « Je vais te baiser, salope. » Jambes écartées, je me suis soumise à son bon vouloir. Quand je l’ai senti prêt à me pénétrer, j’ai tout de même réprimé un petit frisson. J’ai été obligée de demander : « Tu ne crois pas que, toi et moi, c’est un peu dégueulasse ? – Je ne crois rien du tout. Mais il y a une chose dont je suis sûr, c’est que je vais te baiser et t’enculer. »

J’étais convaincue. J’ai ouvert toutes mes portes du plaisir. Il m’a pénétrée, et je me suis dit que je semblais peut-être avoir perdu la face, mais que je venais réellement d’emporter ma bataille. J’ai tout de même refusé de partager le lit de ma fille avec lui, je ne pouvais pas. Cela l’a fait rire, et la glace a totalement fondu entre nous. J’ai senti qu’il avait une forme étrange d’admiration pour moi et je dois dire que c’était partagé, j’aimais son courage et sa détermination.

Le lendemain, il a décidé de remettre ça… Alors nous avons continué le traitement. Trois jours plus tard il ne buvait plus, et le soir il rentrait tôt à la maison… Il devait être un peu plus pressé que d’habitude, car il avait une bonne raison de revenir. Il jouissait de chaque partie de mon corps et nous avons continué ainsi jusqu’à ce que ma fille soit guérie et revienne à la maison. Aujourd’hui, j’ai repris mon simple rôle de belle-mère. Je suis très fière de ce que j’ai accompli pour ma fille. Je ne lui en ai rien dit, mais son bonheur me suffit.

(Photo à la une : Getty Images)

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