Le cul parfait!

La rédaction 14 mars 2020

Guillaume, 28 ans

Est-ce qu’il y a déjà eu une quête dans votre vie qui vous a obsédé au point que tout le reste vous paraisse inutile et vain? Si vous posez cette question à votre entourage, la plupart des gens vont vous citer un job inaccessible, comme astronaute ou alors quelque chose de «bien comme il faut » : le mariage ou l’achat d’une maison, par exemple. Si vous n’êtes pas à l’abri d’entendre une ou deux extravagances dans la bouche de vos proches, comme de tuer le chat du voisin ou de mourir en parapente, jamais, au grand jamais, ils n’avoueront une quête purement sexuelle.

Et pourtant, ma quête personnelle, mon but ultime l’était, il fallait que je m’enfonce dans le cul parfait. Et quand je dis «que je m’enfonce» ; je devrais préciser bien évidemment qu’il s’agit de mon gland et de ma tige et que cette quête ne serait considérée comme « acquise » qu’à la seule condition que les 75% de mon organe génital soient entièrement immergés dans le cul. Mon tronc mesure 18 cm pour 5 cm (et demi) de diamètre, il n’est pas question de détruire une œuvre de la nature aussi délicate en y allant à 100 %. 75%, c’était déjà très bien.

Je sais que vous vous demandez mes critères pour déterminer « un cul parfait » et là, cher lecteur, je peux vous dire que si les goûts et les couleurs sont propres à chacun, ma définition n’en est pas moins tout à fait pragmatique. Il faut que le rapport diamètre de la hanche/LMC (Longueur Maximale du Cul) soit à peu près égal au nombre d’or. Si vous trouvez que cette définition est difficile à mettre en pratique dans la réalité (et donc qu’un cul parfait peut facilement vous passer sous le nez), sachez qu’avec un crayon de 15 cm mis à 25 cm de votre œil et face à une cible à environ 5 m, vous avez tout de suite la réponse.

Et c’est grâce à mon crayon que j’ai rencontré Mia, une jeune russe dans une boîte de nuit huppée de Paris. Elle se trémoussait sur le dance floor avec passion, dans une transe si électrique qu’elle semblait avoir arrêté l’espace et le temps. Plus rien ne comptait pour elle que ses mouvements déchaînés et les basses de la musique auquel les battements de son cœur devaient certainement faire écho. J’ai sorti mon crayon de ma poche , mes potes avaient l’habitude de mon geste et n’y prêtaient plus aucune  attention  et j’ai poussé un cri d’excitation suraigu en me rendant compte que son cul correspondait parfaitement à ma recherche. Cela ne m’était jamais arrivé en 3 ans! C’était elle, c’était ce soir!

Je ne suis pas quelqu’un de très riche (je suis comptable dans une petite boîte d’informatique), mais j’avais bien conscience qu’il fallait que j’augmente l’apparence de mon statut social si je la voulais ce soir. Les russes ne se donnent pas à n’importe qui. «Les potes, on prend le carré VIP avec champagne, c’est moi qui régale!» leur ai-je dit après avoir consulté mon compte bancaire. Ils m’ont donné de grandes tapes dans le dos et se sont rués vers les banquettes. J’ai proposé à Mia de nous rejoindre (je lui ai demandé au préalable son prénom car je ne suis pas un rustre), elle a dit « oui », en continuant d’hocher la tête, toujours dans cette transe. Ce cul,bordel,ce cul ! Elle avait l’air sympa, enfin je veux dire intelligente, drôle, cultivée, mais elle avait surtout ce don de « flotter», de se laisser porter par les choses avec confiance et sérénité ; par la musique, par l’alcool fort, par mes blagues et celles de mes potes, par les rires, par mon rire, par mon parfum, par mon regard, par mon bras, par le taxi qui nous menait à l’hôtel, par mes lèvres contre les siennes, par ma main sur sa cuisse… Elle flottait dans une douce transe, dans une sorte de léthargie heureuse et elle n’avait de cesse de me murmurer à l’oreille « please, don’t stop ». Et je ne comptais pas m’arrêter…

Une fois arrivé à l’hôtel, je l’ai déshabillée aussi sec et j’ai remesuré une deuxième fois son cul, avec la technique du crayon, alors qu’elle avait le dos tourné. Ce cul, bordel, ce cul! J’avais un plug anal toujours sur moi, que je réservais précieusement pour « ce moment ». Avec 18 cm à l’entrejambe, c’est une étape presque obligatoire. « Please don’t stop » me murmurait-elle à l’oreille. J’ai mis du lubrifiant partout, c’est rentré tout seul sans résistance, sans force, comme aspiré. Ma queue allait le remplacer, mais je savais qu’il fallait attendre au moins 15 minutes. J’en ai profité pour l’embrasser et la caresser sur tout le corps avec vigueur. Sa peau avait encore un peu le goût de la sueur et de l’alcool, mais je ne m’en suis pas offusqué pour autant. Je faisais courir ma langue sur toutes ses courbes, avec application. Elle se tortillait de plaisir, m’appelait «mon amour» avec un roulement de «r» si joli. Son cul se tortillait lui aussi, le plug brillant. 15 minutes sont passées, ma bite s’est engoufrée en elle. 75%, surtout pas plus. 5 millilitres de foutre dans ses profondeurs. Et mon sourire béat  d’avoir réussi à la perfection ma mission sur cette Terre.

(Image à la une : Getty Images)

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